Arrivée d'Hiyo....

Cela faisait deux jour qu'Hiyo avait quitté sa sombre et lugubre forêt qui lui avait servit de cachette durant c'est 6 dernières années. Il marchait toujours et encore aillant pour seul but d'atteindre Oto, son ancien village. Chacun de ses pas était lourds, lourds comme si il portait en lui les vestiges d'un passer écrasant. Le vents soufflait fort ce jour là, il remonta son écharpe sur son visage ne laissant que ses yeux à découvert. Le soleil se faisait timide, une faible ombre sur le sol ne cessait de suivre Hiyo qui gradait son regard fixement devant lui. Le temps passait et il se rapprochait de plus en plus du village. Ses bras pendaient le long de son corps comme s'ils étaient dépourvuent de toute résistance, d'un quelqu'on os qui les soutiendraients. Cependant ses doigts eux, bougeaient nerveusement., ils ne cessaient de se battres de tout les côtés signe d'impatience de la part d'Hiyo. Après quelques minutes une masse sombre se fit découvrir devant les yeux d'Hiyo qui laissa alors échapper un petit rire cristalin qui ferait grincer les dents à n'importe qui l'entendrais. Enfin, enfin il arrivait à Oto! Il allait enfin pouvoir assouvir sa soif de pouvoir, ce but qu'il s'était fixé juste avant de disparaitre. Ses pas se brusquèrent alors, il accéléra légèrement, son impatience était si grande qu'il cria un bon coup! peut-être les gardes protégeant les portes l'avaient-ils entendu? Peut importe! Alors que le soleil venait à peine se se cacher derrière un nuage et que le vent avait céssé, Hiyo se retrouvait devant les portes, le visage caché pas son écharpe. Comme il s'y attendait deux gardes entouraient les portes ermétiquement fermés. Son son écharpe Hiyo esquisa un sourire, il en avait envie tout de suite maintenant! Mais il savait qu'il devait se contrôler, s'il tentait quoique ce soit il se ferait découvrir et s'en serais fini de lui! Quelqu'un allait-il le reconnaitre après ces 6 longues années? ou bien avait-il été complétement oublié? Ce fameux jour tant de personnes son mortes, peut-être le village avait-il décider d'oublier...Mais chanceuse serait la personne qui réussirait à le reconnaitre, cette cicatrice qui lui dénaturait le visage donnait l'impossibilité de le reconnaitre. Bien sur il avait toujours la même apparance, cette apparance, ce corps de 17 ans qu'il avait gardé depuis son départ mais même cela ne permettait pas de le reconnaitre.
Lorsqu'ils virent Hiyo approcher, les deux gardes qui semblaient immobiles se mirent à bouger. L'un deux s'avança légèrement et s'adressa à Hiyo.

-Garde:que veux tu étranger?

Etranger, le garde avait bien dit étranger. Hiyo afficha plus qu'un découvrant ses canines toujours cachés par l'écharpe. Il plongea alors sa main dans sa poche allertant tous les sens des gardes. Après quelques instants il en sortit un bandeau frontale, le bandeau d'Oto. Les gardes semblèrent surpris se qui fit sourire Hiyo de plus belle. Il avait toujours gardé ce bandeau sur lui, depuis son départ il ne s'en était pas séparé sachant l'importance que celui ci aurait lors de son retour.

-Etranger moi? je vien de ce village tout comme vous et en voici la preuve! Ouvrez moi donc ses portes que j'aille prendre un peu de repos!

Repos mon fu oui! Hiyo connaissait déjà sa destination une fois qu'il serait entré. Les gardes ne semblaient pas l'entendre de la même oreille que celui ci. Le deuxième garde s'avanca en s'approchant asser près d'Hiyo.

-Garde: Je ne me rappel pas t'avoir vu quitter le village ni avoir vu ta tête ici!

Hiyo soupira et entrepris alors de retirer son écharpe qui lui cachait le visage. Lorsque celle ci tomba attéri dans les mains de son propriétaire les deux gardes furent éffarer de voir le visage d'Hiyo, l'avaient-il reconnu? non surement pas, leur expression montrait bien autre chose, ils étaient dégouter par cette immonde cicatrice. Un garde fit un mouvement de main pour lui dire de remettre son écharpe.

-Vous voyez, vous n'avez jamais vu ma tête ici puisque je la garde sans cesse cacher à cause de cette cicatrice...Maintant que tout est mis au claire ouvrez moi ces satanés portes!

Hiyo ne supportait pas qu'on le retienne aussi longtemps, il état présé et ne pouvait plus se retenir. Une voix résonna dans sa tête:

-Allons Hiyo pourquoi te retiens tu? tue les! je sais que c'est ce que tu veux faire! allons laisse toi allez!

Hiyo secoua la tête, il ne fallait pas qu'il écoute cette voix, s'il l'écoutait tous tomberais à l'eau. Il observa les gardes qui ne déniaient pas lui ouvrir les portes. Hiyo se connaissait, s'il attendait encore comme ça il commettrais un malheure....

Les imposantes portes d’Oto s’ouvrirent, laissant passer la fine silhouette de Tsukiyo qui vint, de sa démarche chaloupée, se placer entre l’ANBU de garde et le nouvel arrivant, laissant traîner sur ce dernier un regard de mépris évident, comme à son habitude. Après un moment où elle détailla celui qui lui faisait face, l’écrasant de son regard, La jeune femme se décida à parler de sa magnifique voix de soprano, rude et moqueuse pour l’occasion :

« Des sales têtes comme la tienne on en a déjà quelques unes dans le village, on n’est pas là pour faire un remake de la masquerade infernale, donc tu peux allé présenter ta tête de dégénéré dans un autre village… »

Toujours en écrasant le nouvel arrivant de son regard étincelant, Tsukiyo sourit. Elle adorait testée elle même les nouveaux qui se pressaient aux portes, ils étaient tellement impressionables…

Le temps passait et Hiyo n'e pouvait plus. Son impatience prenait le dessu sur sa raison mais alors qu'il s'apprêtait à craquer les grandes portes s'ouvrirent laissant sortir quelqu'un. Abandonnant les gardes, Hiyo cerna son regard sur cette personne qui s'interposa entre elle et le garde. Hiyo n'aimais pas ce regard qu'elle portait sur lui, ce genre de regard il les détestaient et par habitude les punissaient, mais dès à présent les choses devaient changer légèrement. Lorsqu'elle s'adressa à lui, son visage se crispa durant à peine deux seconde avant d'afficher son habituel expression d'amusement décallé.

-Quelle race? Bouledogue? Ta tête et ta façon de parler m'y font penser! D'aileur je voix pas en quoi ma tête de dégénéré dérangerais qui que ce soit, la tienne de tête est déjà asser dégénéré pour qu'on ne puisse pas en rajouter une!

Ce genre de conversation Hiyo adorait en faire partit. Son esprit complétement déglinguer lui servait depuis bien longtemps.

-J'ai aucune raison d'aller voir ailleur, après tous je suis chez moi et c'est pas uen chienne qui aboit aussi fort que toi qui va me dissuader d'entrer!

HRP : V_________________________V Qu’est ce que vous avez tous à me traiter de chienne ?

Tsukiyo fut plus ou moins satisfaite de voir que le nouvel arrivant ne restait pas sans répondre à ses provocations, son sourire s’élargit encore, Toujours sur le même ton moqueur, la jeune femme répondit :

« La chienne que je suis préfère aboyée que mordre, tant ta sale face de rat me répugne, s’il fallais que je t’approche de plus prêt nul doute que ton odeur aurait raison de moi ! »

Tsukiyo prononça cette phrase tout en s’écartant, puis toujours avec son air renfrogné et son sourire méprisant, elle enchaîna :

« Et ne te crois pas ici chez toi Quasimodo, ce village est celui d’Orochimaru-sama, et les vermines dans ton genre qui viennent nous rejoindre ne sont rien de plus que les esclaves du maître, ici même ta propre vie n’est pas tienne."

Cette fille était tenace, Hyo adorait ça, son esprit déranger adorait ça! Il laissa échapper volontairement un long soupire d'exaspération. Il n'avait toujorus pas remis son écharpe, son hideux visage éait oujours à découvert et personne ne semblait savoir qui il était.

-Soit, mon odeur aurais, tu as raison, surement raison de toi mais cette douce fin te ferais bien trop d'honneur, Princesse!

Hiyo s'inclina dans un signe de révérance asser provocateur comme à son habitude puis se releva avec un sourire déformé.

-Orochimaru....

Dit-il pestant sur ce nom, ce nom qui lui donnait envie de vomir. Il enchaina...

-....être esclave je m'en contre fou! J'ai dit que j'entrerais dans ce village c'es que j'y entrerais! Peut importe ce qui peux se passer, bien des choses peuvent arriver! Ma vie lui appartient déjà d'une certaine manière, alors je n'ai aucune raison de reculer!

D'un sens ce qu'il venait de dire était exacte, mais d'un autre qui pourrait comprendre ce qu'il voulait inssinuer....

Tsukiyo sourit en entendant les mots du laidron qui lui faisait face, elle avala sa salive, humecta ses lèvres et sur son ton toujours aussi rude, dit:

"Très bien, si tu te sais déjà esclave, tu peux entrer, mais sache qus désormais jusqu'à ton dernier souffle de vie sur cette terre tu es la propriété du maître, et peut être même encore au delà des limites de la mort... "

Sur ce Tsukiyo s'écarta pour laisser le nouvel arrivant passer les lourdes portes du village, tout en lui faisant signe de la main, elle rajouta d'une voix plus pragmatique:

"Evite dorénavant de t'adresser aux gens comme tu l'as fait ici avec moi, à l'intérieur tout est...différent ; et ce serais stupides de mourir parce que ta langue est plus agile que ton esprit."

Enfin, Hiyo pouvait-enfin pénétré dans le village. Il en était tout près, si près de son but qu'il en frémissait d'éxcitation. Hiyo se mit en marche pour entrer mais lorsqu'il arriva à hauteur de la "princesse" il se stoppa gardant son regard fixé sur les porte à demi ouvertent.

-La langue d'un serpent à toujours eu une agilité supérrieur mais il est difficil de la contenir. Pourtant si deux serpents se recontrent leurs esprits riques d'écraser cette agilitée et de former des étincelles! La fin peu arriver plus vite qu'on ne le crois....

Il commence à réavancer tout en disant ses derniers mots:

-Des changement innatenduent peuvent arriver sans qu'on s'en aperçoivent....

Il arriva aux portes demi ouvertent. Juste avant de les traverser ils jetta un regard un arrière sur la petite "princesse". Il afficha un sourire contenant plein de sous entendus

-Sa ne fait que commencer....

Murmura t-il avant de disparaitre derrière les imposante portes du village.